Verdissement des flottes automobiles : et si la solution venait des LLD et LOA Auto ?

Un cadre légal et économique en faveur du verdissement des flottes automobiles 

Entre la loi LOM - Orientation des Mobilités - et la loi de transition énergétique, les entreprises sont tenues de verdir leurs flottes automobiles. 

Pour les entreprises dont la flotte automobile comporte plus de 100 véhicules, la loi LOM impose d'afficher un quota précis de véhicules à faible émission de CO2. Avec des objectifs ambitieux : au moins 10 % de véhicules électriques ou hybrides déjà obligatoires depuis le 1er janvier 2022, et avec une montée en puissance au fil des années : 

• 20 % en 2024 ;
• 40 % en 2027 ;
• 70 % à partir du 1er janvier 2030.

De façon générale, toutes les entreprises se trouvent concernées par le sujet. Le cadre légal resserre en effet l'étau autour des véhicules thermiques. Le malus auto ne cesse d'augmenter sur les motorisations essence et diesel et la TVS (Taxe sur les Véhicules des Sociétés) pèse de plus en plus lourd sur la trésorerie des entreprises. Autre contrainte : l'essor des ZFE (Zones à Faibles Emissions) qui interdisent progressivement la circulation des véhicules thermiques, à commencer par ceux estampillés Crit'Air 4 et 5 et ceux non classés, dans et autour des grandes villes.

Des considérations d'ordre économique et RSE 

En plus des contraintes légales, des arguments économiques et financiers plaident largement en faveur des véhicules non thermiques. Ainsi, le TCO - coût total de possession - des véhicules électriques s'avère bien moins élevé que celui des véhicules thermiques. Une étude le prouve : l’ensemble des coûts liés à la possession d'un véhicule électrique est inférieur à celui d'un véhicule essence ou diesel.  Ainsi, sur une période de 4 années, une économie de près de 1 800 € est constatée entre un modèle électrique et un modèle essence⁽¹⁾. 

Au quotidien, la performance technologique des véhicules électriques - grâce à leur autonomie et à des temps de charges de plus en plus rapides – rend leur utilisation quasi équivalente à celui des thermiques. Mais en plus, le coût à l'usage des véhicules électriques se montre aussi très attractif. Recharger une voiture électrique coûte moins cher que faire le plein d'essence ou de gasoil. Même si le prix de l'électricité augmente régulièrement, il demeure bien moins élevé que celui du carburant. 

Par ailleurs, les chapitres car policy et mobilité durable figurent désormais en position stratégique dans la démarche RSE des entreprises. Intégrer des véhicules électriques dans une flotte automobile apporte donc une réponse pertinente à la problématique de diminution des émissions carbone, et représente notamment un avantage attractif pour recruter ou fidéliser des collaborateurs.

LLD - LOA Auto, des solutions locatives adaptées au verdissement des flottes automobiles

Pour relever les nombreux défis liés à la réglementation et pour bénéficier des avantages économiques des véhicules électriques, des réponses ad hoc existent. Il s'agit de solutions locatives comme la LOA Auto - Location avec Option d'Achat - et la LLD - Location Longue Durée – d’Agilauto, une offre sur-mesure pour les professionnels.    

Ces offres répondent avec justesse au besoin des entreprises d'électrifier leur gamme de véhicules.

Comment ? D'un point de vue financier, le leasing et la LLD présentent des atouts considérables comparés aux crédits classiques. La raison : le leasing permet de se focaliser sur le coût d’utilisation, et non sur la possession. Et de fait, la valeur résiduelle du véhicule n'est jamais supportée par l'entreprise. La LLD comme la LOA Auto agissent alors comme un amortisseur du surcoût de la mobilité. Une mobilité durable à laquelle l'entreprise peut donner les moyens qu'elle souhaite, sans en assumer le coût économique total, ni prendre de risques technologiques lié à l'achat de véhicules.

De plus, ces offres locatives s'accompagnent d'une palette de services additionnels apportant beaucoup d'agilité :

• des prestations entièrement personnalisables - assurance, maintenance, entretien des véhicules, véhicule de remplacement ;
• la possibilité de bénéficier d'installation de bornes de recharge sur les parkings des entreprises ;
• un catalogue large et complet de véhicules électriques et hybrides multimarques, aussi bien des citadines, des SUV et des VUL, répondant tous aux exigences des ZFE ;
• la possibilité de bénéficier d'un service d'assistance auto de gestion administrative et logistique pour l'entretien des véhicules.

Autre avantage : en termes de gestion, d'enregistrement comptable et de finance, l'intégralité des services figure sur une seule et même facture. 

Côté fiscal, migrer sa flotte automobile vers l'électrique présente un atout non négligeable : à savoir la part de déductibilité des loyers en crédit-bail mobilier. Elle est plus importante pour les véhicules électriques que pour les véhicules thermiques. Et ce n'est pas tout, car les entreprises sont totalement exonérées du paiement de la TVS sur les véhicules électriques. Sur une flotte automobile, cet avantage fiscal se chiffre en milliers d'euros par an, voire plus selon la taille des flottes.

Enfin, du point de vue de la politique RSE, ces offres locatives se positionnent comme des solutions idoines. L'entreprise s'inscrit en effet dans une démarche d'usage qui favorise de facto l'économie circulaire. 

LLD et LOA Auto donnent l'opportunité aux entreprises de trouver des réponses adaptées au défi du verdissement de leur flotte automobile. Avec la possibilité d'engager leur transition énergétique, d'abaisser leurs émissions de CO2 sans en supporter le surcoût économique et sans aucun impact sur leurs activités.

^{(1) Source Avere France - étude UFC Que-Choisir https://www.avere-france.org/voiture-electrique-pour-lufc-que-choisir-son-cout-de-detention-est-deja-inferieur-au-thermique/}